Les effets les plus visibles du changement climatique en Afrique sont la désertification, l'érosion côtière ainsi que la salinisation des nappes phréatiques.
Dans certaines régions du continent, la diminution des précipitations et l'abaissement du niveau des nappes phréatiques ont fortement accéléré l'avancée de la désertification.
Ce pompage excessif a fait baisser la nappe phréatique de plus de 7 mètres en 20 ans, réduisant d'environ un tiers l'emmagasinement total d'eau souterraine.
Les secteurs agricole, de la pêche et du tourisme ont été également gravement affectés, et, dans certaines zones, la nappe phréatique a été également polluée.
Une fois la décharge correctement étanchée, le risque d'infiltration d'hydrocarbures dans la nappe phréatique est minime, d'autant que la pluviosité au Koweït est très faible.
En Slovénie, une loi a été adoptée en vue d'assurer un meilleur équilibre des fertilisateurs dans les zones de culture proches de nappes phréatiques peu profondes.
Le niveau des nappes phréatiques baisse de façon alarmante dans de nombreuses régions en raison de la sécheresse et d'une exploitation excessive et incontrôlée des eaux souterraines.
Le GIWA se concentre sur les causes profondes de la dégradation écologique dans 66 zones de mer, d'eau douce et de nappes phréatiques internationales dans le monde.
En outre, ce comité a joué un rôle important dans la modification des dispositions de la loi autrichienne sur l'eau relatives à l'exploitation de la nappe phréatique.
L'érosion des sols, leur épuisement, leur salinisation, leur engorgement par l'eau et l'abaissement de la nappe phréatique sont également présentés comme d'importants problèmes de dégradation des terres en Malaisie.
Pour s'adapter à l'aridification, les populations néolithiques se mettent à creuser de grands puits ouverts pour aller trouver la nappe phréatique souterraine.